RESUME
Un conférencier décrit les différents types de raseurs des temps modernes, fâcheux ou casse-pieds qui vous gâchent la vie à toutes heures de la journée. Ses propos servent de prétexte à 14 sketches.
- Prologue
- Les fâcheux au théâtre
- Partie marionnettes (l'ascenseur, le téléphone, la radio) .....
- La dame qui conduit mal
- Les fâcheux et les amoureux
- Les raseurs (la mondaine, le documentaire, la tragédie) .....
- Le raseur électrique
- Le raseur dans la rue
- Le poussif
- Le postillonneur
- L'inconnu connu
- La dame qui porte en ville
- Le blagueur
- Madame Thermomètre
- Epilogue : le rasé raseur
FICHE TECHNIQUE
Autres titres VF : PARADE DU TEMPS PERDU
Autres titres VF : LES FACHEUX MODERNES
Réalisation : Jean Dréville
Scénario,adaptation et dialogues : Noël-Noël
Directeur de la photographie : Léonce-Henri Burel
Illustrations : Beuville
Assistants réalisateurs : Yves Ciampi et Jacques Garcia
Scénario : Edward Kingsley (sous-titres anglais)
Musique : René Cloërec
Production : Alain Poiré
Distribution : Gaumont
Durée : 75 min
Date de sortie en France : 26/11/1948
DISTRIBUTION
Noël-Noël : le conférencier
Bernard Blier : l'importuné
Marguerite Deval : la dame obligeante
Jean Tissier : l'importun
Aline André : l'épouse du conférencier
Gaby Bruyère
Paul Clérouc
Henri Crémieux : lui-même
Pierre Destailles : l'employé du gaz
Paul Frankeur : le blagueur
Elisa Lamotte : la chauffarde
Maryse Martin :
Jacques Mattler : l'industriel
Jean-Pierre Mocky
Claire Olivier : la dame qui porte en ville
Georges Questau
Émile Rémongin
Marion Toures
René Blancard : Thomas
AUTOUR DU FILM
Yves Robert fera une nouvelle version des Casse-pieds en 1992 avec Le Bal des casse-pieds.
Récompenses
* Prix Louis Delluc en 1948
* Grand prix du cinéma français en 1948
* Prix du meilleur Scénario à Knokke-le-Zoute en 1948
* Prix du Festival Mondial à Bruxelles en 1949
CRITIQUES
"Les exemples choisis pour illustrer le propos dénotent un incontestable sens de l'humour du metteur en scène, mais les trucages et autres animations ponctuant le film sont d'une lourdeur et d'une banalité affligeantes. Dommage, à vouloir trop faire, trop démontrer, on risque de devenir rapidement "le casse-pieds" du pauvre spectateur plutôt malmené ..... "
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