1. Skip to Menu
  2. Skip to Content
  3. Skip to Footer>

Dans la série MYSTER MOCKY PRESENTE

Episode 4 - LE DIABLE EN EMBUSCADE

RESUME

Un professeur amoureux de sa belle élève ? Normal ! Mais attention, à condition de ne pas lui faire de mal.

Hervé, 39 ans, est professeur d'art médiéval. Célibataire et reclus, il mène une vie paisible au sein d'une pension familiale. Vouant un culte immodéré à une jeune étudiante, Rowena, il s'empresse de la suivre un soir pour lui avouer ses sentiments. Aguicheuse et provocante, elle ignore ses avances et se rebelle. Hervé l'étrangle alors...

Au casting de ce premier épisode, on trouve Jean-Hugues Anglade en professeur d’histoire en proie à des pulsions de meurtre sur la gent féminine de son établissement.

FICHE TECHNIQUE

Réalisateur : Jean-Pierre Mocky
Scénario : Jean-Pierre Mocky
D'après C. Gilford
Chef opérateur : Jean-Paul Sergent
Durée : 26 min
1 ere diffusion : avant-première 27/11/07 sur 13 ème Rue puis 06/07/08

Avec :
Jean-Hugues ANGLADE (Hervé)
Bruno PUTZULU (Jules)
Patricia BARZYK
Nadia VASIL
Jean-Pierre CLAMI (le commissaire)
Noel SIMSOLO
Marie HENNEREZ

CRITIQUES

Mon avis

Très bon épisode bénéficiant d'une interprétation de premier ordre avec l'affrontemement que se livre Bruno Putzulu et surtout l'excellent Jean-Hughes Anglade, le fin psychologue ayant de suite deviné dans le professeur d'art médiéval l'étrangleur de blondes en puissance. La chute un peu abrupte est originale, la réalisation rythmée et alerte est à la hauteur, bien rehaussée par une bonne musique de Vladimir Cosma. L'ambiance est bien rendue et sait tenir en haleine. Au final à classer parmi les meilleurs épisodes de la première saison.

Autres critiques

"Une histoire d’une totale banalité, dialoguée par-dessus la jambe et filmée en numérique avec des moyens qu’on devine dérisoires. La « Mocky touch » en quelque sorte. La plupart des épisodes réalisés (ou supervisés) par Hitchcock étaient des adaptations de nouvelles malicieuses avec un (grand) art de la chute. Une leçon qui n’a visiblement pas (encore) été assimilée."
Jérémie Couston - Télérama

"C'est Alfred Hitchcock présente, mais version Mocky : des courts métrages policiers, de l'humour noir, mais tournés à l'économie, façon foutraque. ça casse (l'affligeant épisode inaugural Le Lac, diffusé le 15 juin), ou ça passe, comme ce soir. Le Diable en embuscade doit beaucoup à la composition de Jean-Hugues Anglade en prof de lycée obsédé jusqu'au meurtre par ses élèves blondes. Son duel rhétorique puis physique avec Bruno Putzulu (lui aussi très en forme) constitue un divertissement pervers à souhait.
Samuel Douhaire - Télérama

"Cette série se présente plutôt bien, avec cet épisode "Le diable en embuscade", avec Jean-Hugues Anglade en professeur d’histoire médiévale, solitaire et fasciné par les blondes. On retrouve également Bruno Putzulu, en professeur féru de psychologie, une improbable paire de lunettes sur le nez. Il s’entoure comme d’habitude de ses comédiens fétiches de Patricia Barzyk, Nadia Vasil en vieille fille titillée par des histoires de meurtres, Jean-Pierre Clami en commissaire difforme, Noël Simsolo en vénérable professeur, ce dernier ayant intégré le bestiaire Mocky depuis peu. C'est visiblement tourné comme d'habitude à toute berzingue, mais son univers est bien présent et l'ensemble fonctionne plutôt. Mocky tente de retrouver l’esprit de l’un de ses meilleurs films, "L’ibis rouge" et une une ambiance anglo-saxonne, avec son cortège désué de professeurs dormants à demeure dans une petite université. Une simple pancarte plantée dans un parc notifiée "Internat", lui suffit pour dresser le décor. Le final est assez rocambolesque, mais le tout ne manque pas de charme, et Vladimir Cosma pour la musique est ici pour une fois assez inspiré"
Coinducinephage.

PHOTOS